Piloter les installations de votre maison vous aidera à faire des économies tout en préservant la planète. Découvrez de quelle manière.
Contraction des mots domus, « domicile » en latin, et automatique, la domotique rassemble toutes les techniques et technologies de l’électronique, de l’informatique et des communications au service de la maison. En automatisant et supervisant les équipements de l’habitat, elle joue un rôle essentiel dans la gestion des consommations d’énergie et intervient aussi bien sur les dépenses en chauffage, qu’en électricité et en eau. Réputée coûteuse et compliquée, la maison intelligente est pourtant une solution accessible pour améliorer le confort intérieur comme extérieur et limiter l’impact de l’habitat sur l’environnement. « Aujourd’hui, huit maisons sur dix sont encore construites sans domotique, alors qu’elle est un moyen simple de respecter les limitations imposées par la Réglementation thermique 2012 (RT 2012) sur les consommations d’énergie », Builder. De plus, des aides financières ont été mises en place pour alléger l’investissement des particuliers dans des travaux visant à limiter les dépenses énergétiques. Découvrez comment utiliser la domotique pour économiser l’énergie et votre argent !
Le champ d’application de la domotique en termes d’économies d’énergies est illimité alors que les nouvelles technologies se développent à toute allure. Simples et intuitives pour la plupart, ce type d’installations est défini comme « des tableaux de bord domestiques qui permettent de gérer, sur une interface unique, l’ensemble des équipements du logement ». La domotique ne remplace pas les systèmes de régulation de chaque appareil présent dans la maison, mais fédère l’ensemble pour le contrôler sur une même plateforme, depuis un smartphone ou une tablette.La gestion des dépenses énergétiques est rendue possible par l’installation de capteurs, pour récolter des informations comme la température, l’humidité ou la présence humaine, et d’actionneurs pour les envoyer au cerveau du système, qui se présente sous la forme d’un automate, d’un ordinateur ou d’une box domotique. La variété des fonctionnalités dépend du système choisi. Une box domotique est par exemple plus accessible aux particuliers, mais plus limitée en termes de services rendus. D’autres installations plus complexes nécessitent l’intervention de professionnels et, parfois, d’un développeur informatique. « Cette forme de domotique est moins répandue en France car elle est moins accessible pour l’utilisateur. Elle permet par exemple d’optimiser sa consommation d’énergie via l’utilisation d’informations climatiques pour programmer le système, comme l’ensoleillement du lieu, le vent ou la géométrie », explique un professionnel. Plus les technologies utilisées sont avancées, plus la gestion des équipements est précise et adaptée à leur utilisation.
5 domaines clés pour faire des économies d’énergie avec la domotiqueLe chauffage et la climatisation
Le chauffage et la climatisation représentent le premier poste de dépenses énergétiques dans l’habitat. « Les systèmes peuvent mesurer les consommations et rendent possibles le pilotage et la programmation des installations depuis son smartphone », explique Stéphane Berlioz Latour. En plus d’éviter les oublis, l’automatisation du système permet de définir des températures à maintenir en fonction de l’occupation des lieux, des moments de la journée et des saisons, pour optimiser sa consommation. « On est ainsi en mesure de réduire de d’un tiers sa facture de chauffage avec une interface beaucoup plus accueillante que celles des traditionnels thermostats programmateurs ».Les systèmes plus poussés vont plus loin dans l’optimisation du chauffage. « Ils permettent de lisser la consommation tout au long de la journée pour limiter le prix de l’abonnement. On peut par exemple générer des priorités et programmer des microcoupures pour chauffer les pièces les unes après les autres et limiter les dépenses aux heures pleines ». L’utilisation des données météo permet également d’installer un nombre moins important de capteurs dans la maison.
Le chauffage et la climatisation représentent le premier poste de dépenses énergétiques dans l’habitat. « Les systèmes peuvent mesurer les consommations et rendent possibles le pilotage et la programmation des installations depuis son smartphone », explique Stéphane Berlioz Latour. En plus d’éviter les oublis, l’automatisation du système permet de définir des températures à maintenir en fonction de l’occupation des lieux, des moments de la journée et des saisons, pour optimiser sa consommation. « On est ainsi en mesure de réduire de d’un tiers sa facture de chauffage avec une interface beaucoup plus accueillante que celles des traditionnels thermostats programmateurs ».Les systèmes plus poussés vont plus loin dans l’optimisation du chauffage. « Ils permettent de lisser la consommation tout au long de la journée pour limiter le prix de l’abonnement. On peut par exemple générer des priorités et programmer des microcoupures pour chauffer les pièces les unes après les autres et limiter les dépenses aux heures pleines ». L’utilisation des données météo permet également d’installer un nombre moins important de capteurs dans la maison.
L’eau
La domotique agit dans un premier temps sur la consommation d’eau chaude. Les dépenses sont contrôlées par la gestion à distance de la température et l’automatisation selon les périodes de l’année. Avec une maison intelligente, le propriétaire peut aussi surveiller sa consommation et de se responsabiliser sur les litres d’eau perdus chaque année. Les informations communiquées l’avertissent également en cas de fuite pour une réaction rapide. « Nous avons par exemple programmé une fonctionnalité de ce genre chez un particulier qui voulait contrôler les pertes de sa piscine, en prenant en compte les facteurs naturels comme le mistral ».La domotique ne concerne pas uniquement l’intérieur de la maison, mais trouve aussi son application dans le jardin. Il est ainsi possible d’utiliser les données météo de Google pour gérer l’arrosage du jardin en fonction de la pluviométrie et de la température.
La domotique agit dans un premier temps sur la consommation d’eau chaude. Les dépenses sont contrôlées par la gestion à distance de la température et l’automatisation selon les périodes de l’année. Avec une maison intelligente, le propriétaire peut aussi surveiller sa consommation et de se responsabiliser sur les litres d’eau perdus chaque année. Les informations communiquées l’avertissent également en cas de fuite pour une réaction rapide. « Nous avons par exemple programmé une fonctionnalité de ce genre chez un particulier qui voulait contrôler les pertes de sa piscine, en prenant en compte les facteurs naturels comme le mistral ».La domotique ne concerne pas uniquement l’intérieur de la maison, mais trouve aussi son application dans le jardin. Il est ainsi possible d’utiliser les données météo de Google pour gérer l’arrosage du jardin en fonction de la pluviométrie et de la température.
La lumière
La lumière est contrôlée grâce à des capteurs de présence et de luminosité, pour les systèmes plus élaborés. Comme pour le chauffage, l’automatisation de l’éclairage met un terme aux oublis et aux dépenses inutiles. Il s’allume et s’éteint par lui-même en fonction des besoins.Les installations les plus développées vont jusqu’à gérer l’intensité de la lumière en fonction des pièces et des moments de la journée. « En pleine nuit, par exemple, il n’est pas utile d’allumer la lumière à 100 %, 20 % ou 30 % suffiront pour guider la personne vers la salle de bains ou la cuisine sans l’éblouir ».
La lumière est contrôlée grâce à des capteurs de présence et de luminosité, pour les systèmes plus élaborés. Comme pour le chauffage, l’automatisation de l’éclairage met un terme aux oublis et aux dépenses inutiles. Il s’allume et s’éteint par lui-même en fonction des besoins.Les installations les plus développées vont jusqu’à gérer l’intensité de la lumière en fonction des pièces et des moments de la journée. « En pleine nuit, par exemple, il n’est pas utile d’allumer la lumière à 100 %, 20 % ou 30 % suffiront pour guider la personne vers la salle de bains ou la cuisine sans l’éblouir ».
Les volets roulants
L’automatisation des volets roulants est un plus pour optimiser les consommations de chauffage et d’électricité. « L’hiver, les stores sont programmés pour laisser entrer le plus de lumière et chaleur possible en journée, puis se fermer dès la tombée de la nuit afin d’éviter les déperditions thermiques. À l’inverse, l’été, on joue sur l’orientation des stores pour diminuer les apports solaires ».
Stores et luminaires sont aussi coordonnés pour favoriser la lumière naturelle à l’éclairage artificiel. La domotique maintient un seuil de luminosité dans l’habitat en trouvant le bon équilibre entre clarté extérieure et intérieure. « Si la façade de la maison est exposée plein sud, l’apport solaire sera pris en compte dans l’automatisation et sera adapté aux périodes estivale et hivernale ».
En allant plus loin dans la programmation domotique, il est possible de doser l’ouverture des volets roulants en fonction du seuil de luminosité souhaité dans la pièce et de la clarté extérieure. Ils se règlent donc tout seul pour s’ouvrir en plus ou moins grand selon les moments de la journée.
L’automatisation des volets roulants est un plus pour optimiser les consommations de chauffage et d’électricité. « L’hiver, les stores sont programmés pour laisser entrer le plus de lumière et chaleur possible en journée, puis se fermer dès la tombée de la nuit afin d’éviter les déperditions thermiques. À l’inverse, l’été, on joue sur l’orientation des stores pour diminuer les apports solaires ».
Stores et luminaires sont aussi coordonnés pour favoriser la lumière naturelle à l’éclairage artificiel. La domotique maintient un seuil de luminosité dans l’habitat en trouvant le bon équilibre entre clarté extérieure et intérieure. « Si la façade de la maison est exposée plein sud, l’apport solaire sera pris en compte dans l’automatisation et sera adapté aux périodes estivale et hivernale ».
En allant plus loin dans la programmation domotique, il est possible de doser l’ouverture des volets roulants en fonction du seuil de luminosité souhaité dans la pièce et de la clarté extérieure. Ils se règlent donc tout seul pour s’ouvrir en plus ou moins grand selon les moments de la journée.
Les appareils électroménagers
Dernier poste important en termes de gestion de la consommation en énergie, les appareils électroménagers sont aussi pilotés par la domotique. L’intérêt principal en termes d’économies est de programmer l’arrêt de tous les appareils électriques en vielle la nuit ou lorsque l’on est absent de la maison, comme la télévision ou la box Internet.Comme pour l’eau, la surveillance des consommations des appareils permet de détecter les dysfonctionnements ou une panne. « Cela peut s’avérer très utile pour le congélateur par exemple, afin d’éviter le gâchis ». Si un appareil consomme plus ou moins d’électricité que la normale, il est signalé au propriétaire qui peut intervenir rapidement.Qu’il s’agisse du chauffage, de la climatisation, de l’eau ou de l’électricité, la domotique contrôle la consommation d’énergie. Il est alors plus facile de modifier ses habitudes de vie pour amoindrir son impact sur l’environnement et économiser de l’argent. « L’information est donnée à l’utilisateur et c’est à lui de faire en sorte de réduire sa facture énergétique par la suite ensuite ». Une bonne installation domotique peut facilement engendrer entre 25 % et 30 % d’économies d’énergie en agissant seulement sur l’eau chaude et le chauffage. Pour optimiser ce résultat, il faut toutefois se poser les bonnes questions avant de franchir le cap.
Dernier poste important en termes de gestion de la consommation en énergie, les appareils électroménagers sont aussi pilotés par la domotique. L’intérêt principal en termes d’économies est de programmer l’arrêt de tous les appareils électriques en vielle la nuit ou lorsque l’on est absent de la maison, comme la télévision ou la box Internet.Comme pour l’eau, la surveillance des consommations des appareils permet de détecter les dysfonctionnements ou une panne. « Cela peut s’avérer très utile pour le congélateur par exemple, afin d’éviter le gâchis ». Si un appareil consomme plus ou moins d’électricité que la normale, il est signalé au propriétaire qui peut intervenir rapidement.Qu’il s’agisse du chauffage, de la climatisation, de l’eau ou de l’électricité, la domotique contrôle la consommation d’énergie. Il est alors plus facile de modifier ses habitudes de vie pour amoindrir son impact sur l’environnement et économiser de l’argent. « L’information est donnée à l’utilisateur et c’est à lui de faire en sorte de réduire sa facture énergétique par la suite ensuite ». Une bonne installation domotique peut facilement engendrer entre 25 % et 30 % d’économies d’énergie en agissant seulement sur l’eau chaude et le chauffage. Pour optimiser ce résultat, il faut toutefois se poser les bonnes questions avant de franchir le cap.
5 questions à se poser sur la domotique et l’environnement avant de se lancerQue dit la loi au sujet de la consommation énergétique de l’habitat ?
Issue du Grenelle de l’Environnement, la Réglementation thermique 2012 (RT 2012) est destinée à rendre tous les bâtiments neufs très performants énergiquement. Elle limite la consommation d’énergie des nouvelles constructions de particuliers à 50 kWh par an et mètre carré. La RT 2012 impose également d’équiper la maison d’un dispositif de suivi pour contrôler, au moins une fois par mois, la consommation énergétique réelle par usage : chauffage, refroidissement, production d’eau chaude sanitaires et prises électriques. La domotique offre des solutions pour répondre à ces deux exigences.
Issue du Grenelle de l’Environnement, la Réglementation thermique 2012 (RT 2012) est destinée à rendre tous les bâtiments neufs très performants énergiquement. Elle limite la consommation d’énergie des nouvelles constructions de particuliers à 50 kWh par an et mètre carré. La RT 2012 impose également d’équiper la maison d’un dispositif de suivi pour contrôler, au moins une fois par mois, la consommation énergétique réelle par usage : chauffage, refroidissement, production d’eau chaude sanitaires et prises électriques. La domotique offre des solutions pour répondre à ces deux exigences.
À quel moment installer un système domotique ?
L’installation d’un système domotique dès la construction de la maison fait partie des solutions pour répondre aux critères imposés par la RT 2012, qu’il faut nécessairement remplir pour l’obtention du permis de construire. Cela donne également accès à un choix plus vaste d’équipement. Le propriétaire peut opter pour un système câblé, plus onéreux dans le cas de rénovations, ou sans fil.La domotique apparaît aussi nécessaire dans l’ancien, où l’isolation des maisons n’est pas optimisée, pour éviter les pertes énergétiques. « Si les nouveaux logements doivent êtres étanches à l’air pour être réglementaires, les maisons anciennes sont souvent de véritables passoires thermiques. Il est alors important d’agir pour éviter les déperditions de chaleur. Deux solutions s’offrent aux propriétaires : refaire l’isolation de leur maison, ce qui nécessite des travaux lourds et coûteux, ou faire appel à la domotique, beaucoup plus accessible ».Le coût de la domotique dépend de ces facteurs et des fonctionnalités désirées. « Le prix varie en fonction du degré de sophistication. Il peut aller de quelques centaines d’euros pour un système très simple jusqu’à plusieurs milliers pour des installations complexes ».
L’installation d’un système domotique dès la construction de la maison fait partie des solutions pour répondre aux critères imposés par la RT 2012, qu’il faut nécessairement remplir pour l’obtention du permis de construire. Cela donne également accès à un choix plus vaste d’équipement. Le propriétaire peut opter pour un système câblé, plus onéreux dans le cas de rénovations, ou sans fil.La domotique apparaît aussi nécessaire dans l’ancien, où l’isolation des maisons n’est pas optimisée, pour éviter les pertes énergétiques. « Si les nouveaux logements doivent êtres étanches à l’air pour être réglementaires, les maisons anciennes sont souvent de véritables passoires thermiques. Il est alors important d’agir pour éviter les déperditions de chaleur. Deux solutions s’offrent aux propriétaires : refaire l’isolation de leur maison, ce qui nécessite des travaux lourds et coûteux, ou faire appel à la domotique, beaucoup plus accessible ».Le coût de la domotique dépend de ces facteurs et des fonctionnalités désirées. « Le prix varie en fonction du degré de sophistication. Il peut aller de quelques centaines d’euros pour un système très simple jusqu’à plusieurs milliers pour des installations complexes ».
Quelles aides pour financer son installation ?
La loi prévoit certaines déductions pour les particuliers qui rénovent leur maison en intégrant une solution pour les économies d’énergie. La domotique fait partie de ces solutions et est concernée par les aides suivantes :
La loi prévoit certaines déductions pour les particuliers qui rénovent leur maison en intégrant une solution pour les économies d’énergie. La domotique fait partie de ces solutions et est concernée par les aides suivantes :
- Le crédit d’impôt sur la transition énergétique : Le crédit d’impôt à 30 % est accessible pour les travaux d’économie d’énergie comme la domotique. Il s’applique sur l’installation d’appareils de régulation et de programmation des équipements de chauffage ainsi que pour les volets isolants, si l’installation est effectuée par un expert certifié RGE.
- L’éco-prêt à taux zéro : Il s’applique et est soumis aux mêmes conditions que le crédit d’impôt sur la transition énergétique.
- Les aides de l’Agence Nationale de l’Amélioration de l’Habitat (Anah) : Elle subventionne jusqu’à 50 % du montant des dépenses, dans la limite de 20 000 euros de travaux, qui respectent un gain de performance énergétique d’au moins 25 %.
À qui s’adresser ?
Pour bénéficier des aides prévues par la loi dans le cadre de travaux d’efficacité énergétique (l’éco-prêt à taux zéro et le crédit d’impôt développement durable), il est essentiel de fait appel à un expert certifié RGE (Reconnu Garant de l’Environnement). Il s’agit principalement d’artisans et entreprises du bâtiment spécialisés dans le domaine, mais aussi dans l’utilisation des énergies renouvelables. La mention RGE garantit le savoir-faire du professionnel et son engagement dans une démarche de progrès permanent.« Avant de choisir le professionnel, il est primordial de définir le protocole à utiliser, soit le langage entre la centrale et les différents appareils techniques ». Le protocole de la centrale doit impérativement être compatible avec celui des installations périphériques. Il existe des protocoles propriétaires, issus du même fabricant, et des protocoles ouverts, regroupant plusieurs fabricants. Le premier est considéré comme plus sécurisé, en termes de protection des données, et le second comme plus évolutif, car il pourra être complété avec le matériel d’autres fabricants.
Pour bénéficier des aides prévues par la loi dans le cadre de travaux d’efficacité énergétique (l’éco-prêt à taux zéro et le crédit d’impôt développement durable), il est essentiel de fait appel à un expert certifié RGE (Reconnu Garant de l’Environnement). Il s’agit principalement d’artisans et entreprises du bâtiment spécialisés dans le domaine, mais aussi dans l’utilisation des énergies renouvelables. La mention RGE garantit le savoir-faire du professionnel et son engagement dans une démarche de progrès permanent.« Avant de choisir le professionnel, il est primordial de définir le protocole à utiliser, soit le langage entre la centrale et les différents appareils techniques ». Le protocole de la centrale doit impérativement être compatible avec celui des installations périphériques. Il existe des protocoles propriétaires, issus du même fabricant, et des protocoles ouverts, regroupant plusieurs fabricants. Le premier est considéré comme plus sécurisé, en termes de protection des données, et le second comme plus évolutif, car il pourra être complété avec le matériel d’autres fabricants.
Quels durée de vie et entretien ?
« Tous les systèmes de domotique se contrôlent eux-mêmes et signalent leurs propres anomalies ». La maison intelligente est évolutive et des mises à jour régulières permettent d’augmenter la durée de vie de l’installation à moindre coût, tant que le protocole choisi est présent sur le marché. Un système domotique est ainsi généralement amorti sur environ cinq ans.Dans le cas des systèmes sans fil, la maintenance concernera principalement les batteries des différents appareils utilisés pour le faire fonctionner. Il faudra changer les piles régulièrement, ce qui n’est pas nécessaire avec un système câblé.La domotique n’est pas si compliquée qu’elle en a l’air ! Installez même un système basique et vous soulagerez votre portefeuille comme la planète.
« Tous les systèmes de domotique se contrôlent eux-mêmes et signalent leurs propres anomalies ». La maison intelligente est évolutive et des mises à jour régulières permettent d’augmenter la durée de vie de l’installation à moindre coût, tant que le protocole choisi est présent sur le marché. Un système domotique est ainsi généralement amorti sur environ cinq ans.Dans le cas des systèmes sans fil, la maintenance concernera principalement les batteries des différents appareils utilisés pour le faire fonctionner. Il faudra changer les piles régulièrement, ce qui n’est pas nécessaire avec un système câblé.La domotique n’est pas si compliquée qu’elle en a l’air ! Installez même un système basique et vous soulagerez votre portefeuille comme la planète.
ET VOUS ?
Êtes-vous équipé ? En êtes-vous content ? Avez-vous des interrogations ?